Pierre Ribot

Lors de cette carrière sportive, très tôt j’ai été coopté par le CNRS pour optimiser les sciences de la glisse sur la neige. Ces sciences mêlaient des disciplines comme la tribologie, la rhéologie et la physico-chimie. Ce triptyque permettait d’optimiser le roulement à bille qu’est la glisse sur l’eau, l’air, la neige et la glace ; la glisse intrinsèquement n’existant pas.

Lors de ma reconversion, j’ai dédouané les scientifiques d’un brevet vis à vis du CNRS et je suis allé expérimenter ces technologies d’optimisation des performances dans les domaines de la pénétration dans l’air, la glisse sur l’eau, et l’accélération sur la neige et la glace.

J’ai eu le bonheur de participer à plus de 42 médailles olympiques et autres titres de champion(ne) du monde entre 1993 et 2021, pour différentes nations comme la Suisse, l’Allemagne, l’Italie, l’Autriche, la Suède, le Japon, les USA, et bien sûr la France tout au début de ma carrière professionnelle.

Également d’excellents résultats ont été glanés en officiant aux côtés de structures professionnelles comme en F1 avec Ferrari en 1993-1994-1995, en cyclisme Pro avec Festina en 1997-1998, ou des Transatlantiques en voile auprès des plus grands navigateurs lors de la Route du Rhum ou Transat Jacques Vabres, Figaro Solo, …

Pour mieux quantifier ces gains en performance, je suis devenu expert en télémétrie GPS embarquée, et c’est en 2014 lors des J.O de Sochi que les athlètes américains ont officiellement innové ce process de télémétrie embarquée en exploitant cette technologie pour assister les entraineurs et athlètes lors des performances de l’équipe olympique USA.

Toutes ces médailles d’or aux J.O et Championnats du monde m’ont comblé dans cette reconversion sportive. Cependant une question devenait majeure dans ma réflexion. Certes les technologies des sciences de la glisse pouvaient être prépondérantes pour la performance des athlètes, mais seulement à partir du moment où l’athlète était à 100% de ses capacités.

En effet tout athlète qui, pour des raisons qui lui incombe, est en dessous de ces 100% de ses capacités, toutes technologies supposées optimiser les performances se perdent dans les méandres du seuil en deçà des 100% et de fait ne fonctionnent pas.

Un seul constat apparaissait : la valeur de la performance est le seul fait des capacités à 100% de l’athlète. Mais alors qu’est-ce qui pouvait conditionner ce seuil des 100%, et quels pouvaient être les paramètres qui venaient chahuter ce seuil ?

De là se dégageait un nouvel horizon dans lequel je me suis plongé ces 10 dernières années, en étudiant la physique classique et physique quantique, l’alchimie vibratoire, ainsi que 3 écoles de psychosomatiques auprès des tous meilleurs enseignants du moment.